Je déménage.
J'ai trouvé de nouveaux murs grâce à une architecte d'intérieur de choix,
Un nouveau nom pour ma maison.
Pour me retrouver, écrivez-moi.
Alice
A la recherche d'un nouveau décor...
lundi 1 août 2011
lundi 25 juillet 2011
En avoir ou pas [ du bidon ]
Tandis que Le Pouic s'entraine à dessiner, et que je m'extasie
Moi je cède à la pression et aux demandes pressantes de certaines d'entre vous pour vous montrer mon bidon et mon petit cul.
Plus mon ventre grossit, plus mon cul se rapetisse. Si seulement le volume de mes seins pouvait suivre la même évolution...
Je me pavane avec mon nouveau jean de grossesse, acheté une misère d'occaz'...
D'ailleurs je vide ma maison (le bord*l accumulé dans la chambre de Petit Deuz') sur Le bon coin,
et il faut avouer que ça marche vraiment bien.
Le souci, c'est que j'achète au même rythme que je vends.
Pas très lucratif!
dimanche 24 juillet 2011
Problème de dates
Ca recommence!
Quand il s'agit de savoir où j'en suis dans ma grossesse, je suis bien incapable de réfléchir et répondre.
Tout commence avec le premier rendez-vous chez l'obstétricien. Moi je sais quand a été conçu le Deuz' (non que je note tous mes ébats, mais L'Epoux travaillait beaucoup de nuit en février et moi de jour).
D'ailleurs j'avais réservé un week-end, le week-end de St Valentin à la ferme pour tous les trois, me disant que c'était pas de bol pour le romantisme du milieu du cycle.
Bref, je sais qu'il a été conçu le 13 ou 14 février, comme Le Pouic.
Sauf que d'après les mesures de la machine, Deuz' est officiellement un bébé conçu le 17 février.
Sans que son père soit là donc.
Cela m'a contrariée un peu. Davantage quand je sais que ma date d'arrêt de travail est donc retardée de 4 jours. Et qu'avec ma césarienne, Deuz' arrivera inévitablement avant le 17 novembre.
Donc aujourd'hui, je compte: et je crois que j'en suis à 5 mois + 15 jours environ.
Et bien non, comme je suis une femme prévoyante, j'ai enregistré sur un site de grossesse ma date de conception pour suivre l'évolution de bébé.
Je lis aussi chaque semaine La grossesse des paresseuses offert par Zaza.
Et aujourd'ui donc, on me félicite d'entrer dans le sixième mois. 6 mois déjà?
Je n'y comprends rien (mais j'accepte volontiers que tu m'expliques!) même si avancer plus vite ça me va très bien!
Quand il s'agit de savoir où j'en suis dans ma grossesse, je suis bien incapable de réfléchir et répondre.
Tout commence avec le premier rendez-vous chez l'obstétricien. Moi je sais quand a été conçu le Deuz' (non que je note tous mes ébats, mais L'Epoux travaillait beaucoup de nuit en février et moi de jour).
D'ailleurs j'avais réservé un week-end, le week-end de St Valentin à la ferme pour tous les trois, me disant que c'était pas de bol pour le romantisme du milieu du cycle.
Bref, je sais qu'il a été conçu le 13 ou 14 février, comme Le Pouic.
Sauf que d'après les mesures de la machine, Deuz' est officiellement un bébé conçu le 17 février.
Sans que son père soit là donc.
Cela m'a contrariée un peu. Davantage quand je sais que ma date d'arrêt de travail est donc retardée de 4 jours. Et qu'avec ma césarienne, Deuz' arrivera inévitablement avant le 17 novembre.
Donc aujourd'hui, je compte: et je crois que j'en suis à 5 mois + 15 jours environ.
Et bien non, comme je suis une femme prévoyante, j'ai enregistré sur un site de grossesse ma date de conception pour suivre l'évolution de bébé.
Je lis aussi chaque semaine La grossesse des paresseuses offert par Zaza.
Et aujourd'ui donc, on me félicite d'entrer dans le sixième mois. 6 mois déjà?
Je n'y comprends rien (mais j'accepte volontiers que tu m'expliques!) même si avancer plus vite ça me va très bien!
Ou commencer à l'être... |
vendredi 22 juillet 2011
Etre femme
Être femme, c'est comprendre, connaitre les transformations de son corps.
L'adolescence: un corps que l'on ne connait plus, que les autres regardent différemment, que l'on n'accepte pas .
Un corps qui change, qui peut évoluer en fonction de la santé ("mentale" ou physique), un corps qui imprime souvent chaque étape de vie (séparation, enfant...), un corps qu'on tente d'apprivoiser tout en étant bien certaine de n'être jamais vraiment satisfaite du résultat obtenu.
Cette seconde grossesse me renvoie une image de moi bedonnante que j'avais totalement oubliée.
Je me rassure. Je sais que ce corps se transforme pour de bonnes raisons. Que ces seins bien trop volumineux n'ont pas fini de l'être mais il s'agira de nourrir ce nouveau-né alors, j'oublie cette gêne.
Je sais aussi que je me sens dès à présent plus motivée que jamais pour me délester ensuite (durablement) de ce plus qui m'encombre depuis tant d'années déjà.
Mon corps a déjà tant imprimé de changements... Je trouve cela aussi fascinant qu'angoissant.
Être femme c'est aussi entretenir un rapport tout particulier à la santé.
Personne n'échappe à la médicalisation, voire sur-médicalisation, aux discours préventifs, aux visites chez le gynécologue, aux questionnements médicaux sur la contraception.
Mes rapports avec mes gynécologues femmes n'ont jamais été simples, ils m'ont toujours brusquée, voire traumatisée (je suis montée à 21 de tension suite au discours agressif de la dernière en date qui s'indignait qu'à 30 ans, je n'avais pas encore pris la décision de faire un enfant) jusqu'à ce que que je rencontre mon obstétricien-gynécologue qui m'écoute, me comprend et compose avec mes refus, mes peurs et appréhensions.
La lecture de ce livre Le choeur des femmes, de Martin Winckler m'a permis de me retrouver dans chacune de ces femmes.Oui, la majorité des spécialistes n'est pas humaine, ne se rend même plus compte de la gêne, de la difficulté de chacune d'entre nous de poser les pieds dans les étriers pour se faire ausculter. Ce n'est pas une normalité de se faire interroger sur nos partenaires à l'âge où justement le couple n'est pas une évidence, ce n'est pas une normalité de se sentir si mal à chaque rendez-vous.
J'ai aimé l'humanité qui se dégage de ce livre et je vous le conseille fortement!
Et enfin, être femme c'est avoir la capacité de comprendre les frustrations, les déceptions de l'une dans nous.
Mon amie Zaza a vu ses espoirs de courtes vacances réduits en fumée. Péages, carburant... Offrir quelques jours ailleurs à sa famille demeure un luxe pour beaucoup d'entre nous. Alors, un grand mouvement de solidarité, à l'initiative de Maria s'est mis en place. Et j'aime l'idée qu'ensemble, tout est toujours plus facile.
Contactez moi par mail, je vous indiquerai comment quelques euros pourront nous permettre à toutes de recevoir une belle carte postale et à elle de s'évader quelques jours en famille...
Inscription à :
Articles (Atom)