Le bonheur de dormir 8h consécutives n'a pas duré davantage.
Dommage, j'y ai cru.
Il y a une chose sur laquelle je peux influer : la colère et l'énervement que je ressens à 1, 2, 3 ou 4h du mat' quand le Pouic refuse de renoncer à son biberon nocturne.
Ainsi, je parviendrai à me rendormir plus rapidement...
Le lendemain soir :
Chaque fois que je me résigne à accepter (l'inacceptable), il fait volte-face. Pas manqué. Une nuit complète, moi éveillée depuis 4h30 du mat', guettant, anxieuse, son clairon puisque je reprenais le boulot dès 8h du mat'.
Détends toi Môman !!