Quatrième de couv'
Terre, XXI siècle. Partout le chaos. Alors que l'économie s'effondre, des hordes de miséreux sillonnent les continents. La Troisième Guerre mondiale est sur le point d'éclater... Pourtant, dans la forêt finlandaise, un havre de paix demeure. Là où, des années plus tôt, sur son lit de mort, un vieux communiste a chargé son petit-fils de construire une église en bois. Autour d'elle, une communauté de Finlandais délirants s'est peu à peu formée : ensemble ils revisitent les techniques de subsistance de leurs ancêtres, loin d'un monde en déconfiture. Avec un humour ravageur, Arto Paasilinna plaide pour une vie plus proche de la nature, sans les diktats de la société de consommation.
Ma lecture
Lorsque j'ai lu la quatrième de couverture, j'étais intriguée et vivement intéressée par le thème de l'oeuvre, notamment la dernière phrase.
Mais j'ai eu un mal fou à crocher à l'histoire. Dès les premières lignes, je n'ai pas ressenti l'envie de poursuivre: le personnage qui nous est présenté est le grand-père mourant. Je pensais qu'il s'agissait du personnage principal, mais non, c'est son petit-fils, Eemeli Toropainen.
Le narrateur fait l'économie de toute analyse psychologique et c'est, je pense, ce qui m'a le plus gênée.
L'histoire n'est qu'une suite d'événements traités de manière légère, loufoque (une ourse dévore un guichetier en toute normalité) dans un monde réel puisqu'il s'agit bien de notre siècle.
C'est, en effet, cocasse à certains moments mais pas vraiment drôle comme je l'aurais pensé.
Dans cet ouvrage, rien n'est grave alors j'ai eu l'impression de tout lire vite fait. Je me suis ennuyée, j'ai sauté beaucoup de passages pour en finir rapidement.
Peut-être que d'autres lectrices auront davantage apprécié?
Les autres critiques
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