mardi 21 décembre 2010

2 ans et l'état de crise


Au début, je pensais le Pouic fatigué: post-varicelle, siestes écourtées à cause des différentes fêtes de Noël donc fatigue latente.
J'ai donc puisé, lundi, dans mes dernières ressources de patience, de tolérance pour faire face aux caprices, aux "Oui puis non".

Mardi, après avoir viré comme tous les matins son père de sa chambre car c'est "Maman qui donne biberon", il n'a pas voulu se laver, puis s'habiller, puis monter dans la voiture.

C'est avec soulagement que je l'ai collé à la crèche trois heures.

Le midi GROSSE crise.

Nous, pauvres parents novices avons soupçonné une douleur, avons ausculté, caliné pour finalement se faire imposer la solution: tétine et didi dans le canapé face à son mini épisode de Télétubbies (5 min de dessin animé voilà le quota maison).

Là, alors que je venais voir l'état du traumatisé, je me suis fait avaler mon yahourt au chocolat par un Pouic en forme.


"Problème Papa : on s'est fait avoir comme des bleus".

Le terrible two est passé par là. Notre fils est chiant. Mais vraiment.

Va falloir qu'on s'ajuste, qu'on arrête se penser qu'il souffre pour reprendre notre rôle de parents à l'écoute mais intransigeants face au caprices.

Me*de, il me reste encore 10 jours de vacances dont 8 sans crèche le matin!

Je suis à l'affut de tout conseil, toute stratégie efficace car il nous la fait gratinée la pré-crise d'adolescence le Pouic.
Rassurez moi aussi si vous pouvez, c'est pas 10h sur 12? Ils font des pauses quand même?