mercredi 30 juin 2010

Mon mois pour toi / juillet

J'ai anticipé mon départ en vous offrant ce petit moment de grâce sous les arbres. 


En vieillissant je me lasse de la farniente au soleil, j'aime autant l'ombre des arbres, d'un parasol.

Quel plaisir de voir le Pouic gambader dans le jardin...

Allez, 1, 2, 3 : soleil pour tout le monde,

Vive les vacances!
Voici notre cadeau!

On continue à s'envoyer des petits cadeaux par le biais de nos blogs jusqu'au 10?

vendredi 25 juin 2010

Avant les cartes postales...


Voilà les faire-parts qui partent encore en couple ou en solo.
Plus je les vois, plus je les aime
Merci encore à toi Gabi pour ta patience et ta créativité!

Et je viens de recevoir de quoi m'occuper dès mon retour...

Mais qu'est-ce donc??

jeudi 24 juin 2010

De circonstance...




YoupI Je vais à mon rendez-vous chez le diacre, commence ma valise et reviens bien vite!

lundi 21 juin 2010

Ca plane pour moi


Je suis une étourdie.

En ce moment, la période est chargée, tout se cumule alors y'a des choses que j'ai pas encore tout à fait intégré :
  • Qu'une fois les couverts posés sur la table, j'ai pas intérêt d'oublier de servir dans la minute les plats sinon voilà comment le retrouve le Pouic,
  • Il répète tout à présent et surtout si ça chantonne. En nous changeant pendant le mariage, nous avons clamé en chœur avec MamiVé "A Poil Maman". Depuis, il aime cette chanson, surtout quand j'entretiens mes relations de bon voisinage...
  • Il a le "Ok!" facile, faut pas que j'en abuse non plus.

Je m'aperçois également que le Pouic ajoute une couche à la planerie conjugale car PapaPouic et moi, on est déjà les as. En une semaine : voiture laissée ouverte avec les clés sur la portière, voiture qui dort en pleine rue passante. Clés laissées également sur la porte de la maison, à l'extérieur.

Concentration... Faut tenir bon encore quelques jours...

dimanche 20 juin 2010

Happy Sunday Evening Saison 2, #42

 Ce week-end nous avons encore mangé, bu (surtout moi) et joué avec le Pouic.
Je suis rassurée car pour sa seconde fête des pères Mathieu a été aussi gâté que moi avec un semblant de dessin de mon fils réalisé sur un Canson jaune vif à la forme d'une cravate avec un sublime bolduc pour figurer le noeud.
Lui au moins a eu l'intelligence et la bonté d'en faire un marque-page, le mien est déjà archivé suivant vos conseils.

Nous avons soufflé, soufflé et même craché fort (hein le Pouic!?) sur les bougies pour les anniversaires.


J'ai lu deux chouettes livres dont un que vous m'avez vivement conseillé: No et moi de D. de Vigan, et Le mec de la tombe d'à côté de K. Mazetti.
J'en ai commandé quatre pour fêter mes vacances. Et ne vous privez pas pour m'en souffler d'autres dans le creux de mes commentaires ;)


Une grande semaine nous attend: la dernière fournée de faire-parts sera envoyée demain (je vous les dévoilerai dès que tout le monde les aura reçus), ce sera ma dernière semaine de cours, mon dernier essayage de robe pour le 14 août, mes premiers cartons seront fermés et ma valise devra être terminée car samedi matin nous partons en vacances, direction la Loire-Atlantique dans la presqu'île de Guérande (à ce propos, si vous avez des adresses, ou des conseils de choses à voir, n'hésitez pas!)

Je vous souhaite à toutes et tous une heureuse semaine pleine  de belles choses!
Elles approchent aussi les vacances pour vous? Enfin je ne parle pas du soleil ni de la chaleur...

samedi 19 juin 2010

Faire sa Zaza


Zaza, avec laquelle nous avons fait notre coming-out d'amitié virtuelle, mais que je ne désespère pas de rencontrer cet hiver, fête les un an de son blog.
Au-delà des milliers de cadeaux à gagner, elle propose de participer en publiant ce qu'ellle nous inspire à travers ses posts.

Ce qui m'a séduite chez Zaza, c'est son art de l'auto-dérision, dès qu'elle peut, elle trouve moyen de rire de son quotidien. Ça c'est dans le blog parce qu'en vrai, ma Zaza, elle manque singulièrement (et évidemment de manière non justifiée) de confiance en elle...

Donc Zaza m'inspire cette photo de grand n'importe quoi. Avec le Pouic, je me surprends souvent à avoir des idées complètement timbrées. Ce matin-ci, c'était gomettes à volonté.
J'aurais aussi pu vous montrer quand je fais le lapin dans le bain avec le P'tit, ou quand je le réveille en arrivant à quatre pattes en rugissant telle la lionne, ou quand on fait du rodéo avec l'aspi...



jeudi 17 juin 2010

Faire l'amour, J-P Toussaint





Quatrième de couv'

C’est l’histoire d’une rupture amoureuse, une nuit, à Tokyo. C’est la nuit où nous avons fait l’amour ensemble pour la dernière fois. Mais combien de fois avons-nous fait l’amour ensemble pour la dernière fois ? Je ne sais pas, souvent.

Livre de la pleine maturité, Faire l’amour dessine une scrupuleuse géométrie du vertige d’aimer. Et l’instant d’après de ne plus aimer. Géométrie infiniment précaire dans un monde menacé, physiquement, de tremblement. Loin de toute psychologie convenue et aussi, cela va sans dire, de tout sentimentalisme désuet. Un critique parla jadis d’un pont jeté entre Mondrian et Pascal. Quelque part entre la blancheur impassible et la fureur, et les misères humaines. Avec une impressionnante et magnifique maîtrise, Toussaint a fondu ensemble tous ses dons. Du grand art qui devrait assurer sa consécration.
Patrick Kéchichian, Le Monde

Faire l’amour est un modèle de partition sismique et sensuelle : à la violence extrême d’une scène de couple succède un moment d’absolue sérénité métaphysique, baignade déjà anthologique dans une piscine, au sommet d’un hôtel comme égaré dans le ciel de Tokyo. La profondeur de la pensée en équilibre avec les frivolités de la mode : c’est comme l’onde d’un petit miracle.
Fabrice Gabriel, Les Inrockuptibles

Ma lecture

J'ai beaucoup aimé l'écriture de ce roman, c'est un plaisir de se laisser emporter par les mots de J-P Toussaint.
En revanche, je n'ai pas pris de plaisir à propos du thème traité, de la rupture amoureuse. Il y a une ambiance lourde, celle de la séparation, de la souffrance, de la déchirure.
C'est pourtant un beau livre mais dont le sujet ne m'a pas plu à ce moment-ci de mes envies de lectrice; je pense que ce n'était pas le moment de notre rencontre malgré le fait qu' il y a beaucoup de poésie, de modernité dans l'univers de Toussaint.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. L'écriture laisse une distance entre eux et le lecteur. Je ne me suis pas sentie touchée, ni par cette femme lointaine qui pleure mais pas tant que ça, ni par cette homme avec son flacon d'acide.

Je l'ai lu vite, assez pressée d'en finir...

Cette lecture était ma dernière dans le cadre du Prix littéraire des blogueurs

mardi 15 juin 2010

Femme mariée = panne d'idées



Tout d'abord je tenais à vous remercier toutes et tous pour vos touchants voeux de bonheur conjugal.
Quel plaisir d'arriver ici et de lire tous ces adorables messages.

Depuis que je suis une femme mariée (whaou) je multiplie les démarches administratives, j'organise notre mariage religieux, j'envoie les faire-parts, je dors seule car mon mari travaille la nuit, je contemple mes blancs bouquets, j'admire ma main gauche mille fois par jour, je tente de trouver des cadeaux pour l'anniversaire de mon Epoux (jeudi), je commence les cartons et la valise car nous partons dans 10 jours en vacances.

Alors je n'ai pas grand chose à vous raconter d'autant plus que je n'ai plus mon ordinateur le soir...

Mais ça reviendrai, surement...
En attendant, j'ai vu des concours chez les unes ou les autres et je vais tâcher de participer dignement!

dimanche 13 juin 2010

Le jour où j'ai dit Oui / Part I



Ce jour là j'ai pleuré. Beaucoup et tôt : dès que j'ai vu Mathieu sortir de voiture, devant la mairie.
La journée ensoleillée fut splendide.
Je trouve l'alliance au doigt de mon Mari excessivement sexy...


Mariés !


samedi 12 juin 2010

H moins 3 ...


Grande forme en ce matin de mariage 
Je file chez le coiffeur
Bon week-end à vous! 

PapaPouic, si tu passes par là,
T'auras compris le message?!




vendredi 11 juin 2010

Bilan à H moins 13

Une dernière photo de Mlle Duboc
Cheveux méchés et non coiffés
Spray auto-bronzant redoutablement efficace

La Vierge dans le persil 
Découverte dans le jardin de belle-maman
Je vous mets au défi d'en trouver la signification


Des kilomètres de tulle sortis pour la déco 



Heureux week-end à vous.
Je vous raconterai dimanche soir ce mariage Part I

jeudi 10 juin 2010

De la délicatesse et des fraises




Deux moments de plaisir à J-2
La première fraise cueillie de sa vie, et un roman offert pour la fête des mères.

La délicatesse apparait dans ce roman comme un enchantement. Beaucoup de tendresse, d'humour. Le drame devient progressivement comédie amoureuse.
Un personnage plutôt anti-héros nous séduit au fil des pages. C'est comme si l'auteur lui-même se laissait surprendre par l'histoire qui se noue entre les personnages, comme s'ils lui échappaient.
Ce roman est un hymne à l'amour, la joie et à l'optimisme.

Juste quelques lignes qui m'ont particulièrement amusée: Markus, le héros, se rend dans un speed-dating:
La fille s'appelait Alice (note en bas de page: C'est étrange de s'appeler Alice et de se retrouver dans ce type de soirées pour trouver un homme. En général, les Alice rencontrent facilement des hommes) et travaillait dans une pharmacie ( note en bas de page: C'est étrange de s'appeler Alice et de travailler dans une pharmacie.En général, les Alice travaillent dans des librairies ou des agences de voyages) où elle animait parfois des ateliers beauté (note en bas de page: A ce stade, on peut s'interroger: s'appelait-elle vraiment Alice?)
Il ne pouvait mieux choisir mon Promis!
Ce roman fait du bien. Je vous le conseille vraiment!

Quatrième de couverture
Il passait par là, elle l'avait embrassé sans réfléchir. Maintenant, elle se demande si elle a bien fait. C'est l'histoire d'une femme qui va être surprise par un homme. Réellement surprise.

Tu connais cet auteur? Ce titre?

Mon mois pour toi / juin

En juin je vous avais offert une photo de ma ville pour CES raisons. J'ai reçu aussi plein de cadeaux que je vous invite à découvrir chez elles :
 
Anyuka un coeur bien particulier
Ptisa une prouesse de bébé qui devient petite fille
Arwen nous propose d'admirer LA voiture grande classe
Cricri S  des superbes cup cakes aux framboises!
Voyelle un coin d'intimité de pré-dodo
Mme Zaza des cartes postales maison
Val titille nos papilles avec des cadeaux du jardin
Eddye   un superbe bouquet de fleurs des champs ou un Monsieur Patate, au choix !
Anne Laure une petite Lilly à croquer qui grandit en beauté!
Virginie B nous dévoile un cadeau des 5 ans de sa jolie Rosalie
Chrys nous montre des motifs pour petits anges

Chaque mois, c'est un véritable plaisir de d'ouvrir ces présents, comme un calendrier de l'Avent dispersé chez l'une ou l'autre, sans jamais savoir quelle découverte on va faire...

Merci à toutes pour vos participations qui me permettent de vous découvrir un peu plus aussi...

Heureux juin à vous toutes!

mercredi 9 juin 2010

Pourtant j'voulais pas...


Parce qu'à présent je sais que j'ai suffisamment confiance en moi pour retourner dans un magasin et dire "Non, finalement, après essayage,ce que vous avez créé pour moi ne me convient pas" (hé oui, je pars de loin), je vais porter, grâce à la modiste, un accessoire de tête qui va à ravir à mes cheveux méchés de blond. Toujours grâce à elle, le Pouic portera son noeud pap' (clin d'oeil à mon Papi), PapaPouic sa pochette et moi le bracelet liberty assorti.

Vous aurez remarqué que je n'ai pas résisté non plus à l'envie de vous dévoiler un coin de ma bague et un volant de ma jupe.

Et celles ou ceux qui voulaient la surprise, consolez-vous en vous disant que vous n'avez rien vu, et qu'il y a une possibilité de rattrapage pour la bavarde que je suis puisqu'en août on remet ça, YoUpI !

Voilà aussi pour Libelul, une preuve de liberté: oser se contredire simplement parce que l'on a changé d'avis!!!

mardi 8 juin 2010

Les heures souterraines, D. de Vigan


Quatrième de couv'

Chaque jour, Mathilde prend la ligne 9, puis la ligne 1, puis le RER D jusqu'au Vert-de-Maisons. Chaque jour, elle effectue les mêmes gestes, emprunte les mêmes couloirs de correspondance, monte dans les mêmes trains. Chaque jour, elle pointe, à la même heure, dans une entreprise où on ne l'attend plus. Car depuis quelques mois, sans que rien n'ait été dit, sans raison objective, Mathilde n'a plus rien à faire. Alors, elle laisse couler les heures. Ces heures dont elle ne parle pas, qu'elle cache à ses amis, à sa famille, ces heures dont elle a honte.
Thibault travaille pour les Urgences Médicales de Paris. Chaque jour, il monte dans sa voiture, se rend aux adresses que le standard lui indique. Dans cette ville qui ne lui épargne rien, il est coincé dans un embouteillage, attend derrière un camion, cherche une place. Ici ou là, chaque jour, des gens l'attendent qui parfois ne verront que lui. Thibault connaît mieux que quiconque les petites maladies et les grands désastres, la vitesse de la ville et l'immense solitude qu'elle abrite.
Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Autour d'eux, la ville se presse, se tend, jamais ne s'arrête. Autour d'eux s'agite un monde privé de douceur.
Les heures souterraines est un roman sur la violence silencieuse. Au coeur d'une ville sans cesse en mouvement, multipliée, où l'on risque de se perdre sans aucun bruit.

Ma lecture

Quel plaisir de retrouver l'envie de terminer un livre quitte à passer un très courte nuit..
Une écriture précise, vive, allant à l'essentiel.
Un ancrage réaliste et bouleversant sur la perversité et la violence en entreprise.

Deux tournants de vie mis en parallèle durant une journée: celle d'une femme qui subit un harcèlement moral inhumain et un homme qui décide de mettre fin à une relation de dépendance amoureuse.

 J'ai vraiment aimé la manière dont est construit le récit, beaucoup d'attentes, de surprises, de compassion envers les héros et les autres, ceux que Thibault croise au cours de cette journée de garde, beaucoup d'émotion aussi.

J'ai découvert Delphine de Vigan et j'ai vraiment envie de lire d'autres romans d'elle.
Vous la connaissez?

lundi 7 juin 2010

19 mois ♥


Une évidence partagée par toutes les Mamans : le temps file...
Jamais plus tu ne fais du 4 pattes, tu es un vrai bipède,
Tu t'endors en chantant "Bateau sur l'eau",
Tu m'interdis formellement de commencer la journée sans un "Gâté Maman",
Je commence plus tard, tu te réveilles toujours aussi tôt alors nous partageons notre bain quasiment tous les matins et tu as du mal à accepter que ce ne soit pas le cas, quelquefois,
Tu t'es pris d'amitié pour ton bob, didi, Poupon et Nounouss 
que tu te colles sur la tête et sous le bras pour partir à la crèche,
Tu réclames tous les membres de la famille,
Tu es fan de tes nus-pieds au point de vouloir dormir avec,
Tu parles de mieux en mieux, utilisant même le "je", ton verbe favori est "voir"
Je vais porter ton nom de famille dans 5 jours *YOUPI*
Tu as un côté "ptit bidouilleux" 
Tu as pigé qu'une tape à ta mère = une séance au coin:
C'est drôle quand tu y vas seul, beaucoup moins quand on t'y envoie...
Je te regarde et tu es, à présent, mon petit garçon
Mon bébé se fait la malle avec le sourire.



dimanche 6 juin 2010

Happy Sunday Evening Saison 2, #40

Non je ne vous raconterai pas comment j'ai cru semer mon futur Epousé lorsque nous sommes restés pendant 6 heures avec 12 autres gentils couples de Promis/Promise,



 
 
 
Je préfère me rassurer en admirant cette nouvelle famille qui se bâtit aussi autour de nous dans un grand bonheur partagé.













Des livres à la pelle

J'ai ouvert un autre blog parce que je commence à remplir les cartons et je ne veux pas conserver tous mes livres.

Donc ICI vous trouverez peut-être de quoi vous réjouir !

PS: les prix sont négociables

samedi 5 juin 2010

Olaf en orient, sa mère et ses sentiments



Olaf, comme on le surnomme aussi, digne descendant des vikings s'est transformé en vizir le temps d'une journée. J'ai adoré. Ça c'est pour Zaza.


Pour le reste,

* J'ai changé ma tenue du mariage civil (le haut) et même ramené mon serre-tête créé sur mesure pour en choisir un autre avec la modiste.
* J'ai de belles mèches blondes
* J'ai investi dans un crayon à lèvres Shiseido dont je ne suis pas super satisfaite de la teinte mais faut que j'apprenne à l'appliquer
* Il me tarde de porter le nom de Monsieur. Dans une semaine ce sera chose faite.
* Plein de gâteaux, des minis, des individuels pour ce premier mariage. Pour la pièce montée, on attendra août. Miam. les choisir sans les goûter tous à relevé du supplice.
* Mes pilules "bonne-mine" m'aident visiblement à dorer ma peau, ce qui m'évite les UV. Je supporte difficilement la chaleur. On n'est jamais satisfait de ce que l'on a même si à 47.6°c dans ma cour, ça parait normal.
* Nous partons de 17 à 22h à la préparation au mariage religieux avec d'autres couples. J'ose même pas imaginer la tête de l'Epousé dans une poignée d'heures.
* Mon café est encore chaud. Il m'attend dehors avec une pile de catalogues déco/vaisselle/meubles pour la liste de mariage.
* Je vais bien et je crois bien me sentir dans ma peau. Espérons que ça dure une semaine encore.
* Et vous, ça va?

jeudi 3 juin 2010

Couleur crin

Demain séance coiffeur : mèches pour le mariage!
Entre le châtain du Chéri, le blond/blanc du Pouic, 
Fallait bien que je trouve mon juste milieu!



Quand je vois les poneys Shetland, je me sens curieusement assez identiquement coiffée!





Comme Lolotte et moi, t'es en guerre ouverte avec ta crinière (et avec ta tronche en photo)?

mercredi 2 juin 2010

Société de consommation? Non merci !

L'expérience aidant, je commence à comprendre que les jouets de mon Pouic doivent évoluer en même temps que lui.

Il y a ceux avec lesquels il exige notre participation : quilles, puzzles, dessin (enfin là grabouillage serait le terme plus exact), pê (ou pêche) aux poissons aimantés... Ce qui me laisse finalement, 10 minutes de tranquilité par jour passé avec lui, hormis les siestes pendant lesquelles je ne me gêne pas pour dormir aussi.

Alors, comme tous les trois mois environ, je tente d'acheter un jouet de mec, le jouet en solo. Je ne me trompe pas souvent, mais vu le prix exorbitant des jouets, j'ai vite pris l'option "seconde main" et là, je nous fais plaisir.

Ce soir, j'ai trouvé pour vingt euros: le camion de pomipers, le tracteur avec remorque, le train avec wagon. Le tout en bois avec une dizaine d'animaux divers et variés.

J'ai entendu mon fils s'esclaffer de joie. Plusieurs fois. Je l'ai vu renoncer aux pâtes (quelques secondes) pour jouer seul.
Et j'ai déjà effectué mentalement la sélection de jouets qui rejoindra un carton pour le roulement trimestriel.

 

Je m'étonne de me trouver très organisée et économe. 
Non mais t'as vu les prix pour des trucs en plastique qui ne durent pas en plus??

Et je crois que le Pouic a encore des dents qui se bousculent sous les gencives vu la couleur des joues. Ça s'arrête quand de pousser??!! Le pédiatre m'avait dit qu'il en avait 16, qu'il avait celles des deux ans. Il en reste 4 si j'ai bien pigé. Ouf...

mardi 1 juin 2010

Chambre numéro 10 / Prix Mare au diable #7/10



Quatrième de couv'

La police criminelle suédoise de Göteborg est appelée sur une scène de crime où une certaine Paula Ney a été retrouvée pendue dans la chambre numéro 10 de l'hôtel Revy. La thèse du suicide ne convainc guère le commissaire Winter qui est déjà venu sur les lieux, dix-huit ans auparavant, lors de la disparition non résolue d'une autre jeune femme. Persuadé d'être autrefois passé à côté d'un indice capital, cette nouvelle enquête est l'occasion pour lui de rétablir la vérité. A quelques semaines d'un congé sabbatique bien mérité, Erik Winter devra compter autant sur son équipe que sur ses souvenirs pour déterrer d'impensables secrets de famille e mettre fin à une série de meurtres odieux.


Ma lecture

J'en baillerais presque encore!
500 pages environ, l'intrigue traine vraiment en longueur, le personnage principal est sympathique sans plus.
J'ai mis tant de temps à le lire et j'ai eu tant de mal à me passionner que je me perdais un peu dans le présent/passé.
L'intrigue n'est pas palpitante, la résolution un peu tirée par les cheveux.
Les motivations des personnages ne sont pas claires.
Bref, je ne conseille pas vraiment ce polar...

Lu dans le cadre du Prix littéraire des Blogueurs. en espérant que George ne se soit pas fait écraser sous les cartons de livres...

Sa bouche en coeur


Je suis une fille pas si girly
Je ne suis pas excessivement fan des paillettes, coeurs.
Ce que je redoute si Pouiquette il y a un jour, c'est le rose, les discussions liées à l'habillement, aux talons, chaussures, aux jupes. Je vois bien ce qui se passe chez mes copines qui ont des filles (même petites!) et cela ne me fait pas envie.
S'il le faut pourtant je passerai par là bien sur, même si je n'étais pas moi-même une girly petite fille.

Mais, s'il y a bien un coeur qui me fait chavirer,
C'est celui de sa bouche qui me fait des baisers!

Et si je vous dévoile mon ♥ favori, c'est à l'appel de Virginie pour gagner un chouette cadeau