dimanche 31 octobre 2010

Cookies à la folie d'amour

120 grammes de beurre trop fondu
Auquel on ajoute PLEIN des pépites de chocolat


On ajoute 100 grammes de sucre et on touille

On casse un oeuf


On ajoute 220 grammes de farine et un demi sachet de levure


On malaxe avec les doigts
On crée de petites boules qu'on aplatit en palets assez larges (5mm) sur le papier sulfurisé
On cuit 10 minutes au four (180°c)


Et Voili voilà le résultat
Au final, ils ont plus le gout de sablés que de cookies
Attention de ne pas les faire trop cuire, et de les préparer bien épais afin qu'ils soient moelleux

samedi 30 octobre 2010

Mon ennemi le temps


C'est le mot que je prononce le plus ces derniers temps :
Celui qui se dérobe,
Celui que je voudrais avoir pour moi
Celui qui passe vite, trop vite,
Celui qui nous apporte de la pluie,
Celui qui n'efface pas les chagrins,
Celui qui apporte la nostalgie de ceux qu'on voudrait encore avoir parmi nous,
Celui des moments planifiés,
Celui que l'on espère, l'autre que l'on redoute.


Le temps a été un problème pour moi ces derniers jours.
Il m'a donné l'impression d'étouffer.
Étonnamment, c'est l'absence de rythme défini qui me fragilise: je voudrais faire mille choses parce que je suis en vacances et ne parviens pas à en achever deux! Et la frustration génère mon angoisse!

Rassure-moi, je ne suis pas seule, n'est-ce pas Chrys?

Ma créativité

Elle s'exprime avec mon cœur et s'inspire 
de moments doux, drôles, tendres, agacés, gourmands, pluvieux, amoureux...

Heureux anniversaire Maman@home,
longue vie à ton chez-toi!

vendredi 29 octobre 2010

Clic-Clac #1


Parce qu'elles rendent aimable
Et parce qu'elles nous font les fesses roses,
J'en ai besoin plus que jamais :)

Clic-clac, Cricri

mercredi 27 octobre 2010

Under the rain [pas beau]

Un temps à Siester longtemps,
Enfiler des bottes,
Sauter dans les flaques,
Passer du temps à la bibliothèque,
Voir la nuit arriver très tôt,

Et espérer quelques éclaircies pour le lendemain!

Et voilà, c'est Comme-ci Comme Cat 
Pour les trois ans de ton blog!
Quand il pleut en Normandie durant les vacances de la Toussaint.

mardi 26 octobre 2010

Miam aux pommes !

Couper des ronds de pâte feuilletée


Déposer les ronds de pomme sur les ronds de pâte


Une noisette de beurre dans les trous,
Une cuillère de miel nappe les pommes,
Une légère pluie de sucre (ici ce ne fut pas le cas)

Miam! aux pommes!
A savourer entre gourmands au bec sucré!

lundi 25 octobre 2010

Eclaircies [en tous genres]


Le soleil plane toujours sur la Normandie malgré la fraicheur.
Plein de rayons de soleil dans la maison.
J'aime retrouver des bouquets de tulipes sur la table.

Éclaircie aussi professionnelle avec un projet très flou pour le moment de VAE,
Un sursis pour notre Institut jusqu'en juin 2012 en attendant que les ministères et administrations statuent définitivement. Vous en saurez plus ici.







Et la dernière éclaircie en images... et pas la plus avantageuse!






Bon début de semaine à vous!

dimanche 24 octobre 2010

En balade !


Un rayon de soleil normand, une balade matinale pour voir les bateaux et remplir le panier de sole, foie de saillot, crevettes et pinces de crabe.

Une grosse sieste, des cartons d'invitation pour les 2 bougies prêts à être postés.

Un goûter partagé avec  Zazou la grande gourmande, suivi d'une balade hors norme.

Un livre pour tout oublier: Vendetta de J. Ellory.

J'espère que votre dimanche fut aussi chouette que le notre!

samedi 23 octobre 2010

Vacances? Vous avez dit vacances?

Une semaine pour:
  • Aller bosser ... dès lundi matin (mais que les matins),
  • Apprendre à allumer ma cheminée,
  • Faire des siestes tous les jours,
  • Lire au moins un roman,
  • Ne jamais faire de grasse matinée,
  • Occuper utilement le Pouic (vitres, aspirateur, rangement, linge à étendre...)
  • Corriger une centaine de copies,
  • M'offrir une jupe, une séance chez l'esthéticienne
  • Remplir mes obligations de swapeuse et de copine de future Maman,
  • Organiser mon bureau/bordel
  • Recevoir des amis et cuisiner
  • Préparer la déco de l'anniversaire d'Octave,
  • M'apercevoir que l'automne est vraiment là.
Et vous, en vacances aussi?

jeudi 21 octobre 2010

Chacun son combat


 


Pendant que Maman lutte pour conserver son lieu de travail *,

Le Pouic à cagoule (rebaptisé Télémummiz = télétubbies) tente d'amadouer les envahisseurs au bec jaune qui sont toujours plus nombreux dans le jardin de Mamionique et Papirc


*Merci encore à vous pour votre soutien!
Il m'est immensément précieux, le combat est rude...
Edit de vendredi matin: Merci Oh les filles,et ma chère George de m'avoir mise à l'honneur!




Je repasse le message à tous les visiteurs:
La pétition est ICI


vendredi 15 octobre 2010

Le jour où nous avons lancé un combat

Je travaille dans un Institut de Formation très atypique puisqu'il accueille près de 300 stagiaires par an venus en grande majorité des DOM et COM : Martinique, Guadeloupe, Guyane, Wallis et Futuna, Mayotte, Réunion.
Je voyage tous les jours. Dans ma petite ville de Normandie.
Je m'amuse, m'éclate, m'énerve, m'investis depuis un peu plus de dix ans pour accompagner ces jeunes vers un emploi, une carrière.
Une démarche collective qui fonctionne puisque nous pouvons nous féliciter d'un taux de réussite avoisinant les 80%.
Je n'ai jamais compté mes heures. J'ai la foi.

Jusqu'à ce qu'au détour d'une vaste ligne budgétaire, nous apprenions lundi [sur le net] que les subventions allaient baisser de 50% en 2011 et être complètement inexistantes en 2012.
Dans le langage administratif, ça veut dire "fermé dès juin 2011".

A présent j'ai la foi et la colère.

Nous nous mobilisons très vite, très fort.

Comme des milliers d'autres, jamais je n'aurais cru que cela pouvait m'arriver à moi.
Après les premières heures où tout s'est assourdi, où j'ai eu peur égoïstement pour moi, mon fils, ma maison à peine étrennée, j'ai vite compris qu'il fallait réagir vite, intelligemment, collectivement.

Je suis encore plus fière de travailler avec des gens réactifs, solidaires.

Demain nous manifestons.
SI vous voulez en savoir davantage c'est ici, sur notre blog.


Je tenterai de vous tenir au courant des avancées...

mercredi 13 octobre 2010

Quand j'étais enfant...


J'avais déjà tout ce que j'ai encore aujourd'hui: le goût pour les gâteaux, la blondeur transmise au Pouic, les bourrelets (même si je remarque avec bonheur que j'en ai beaucoup moins aujourd'hui!), le sourire forcé sur les photos.
Ha oui, seules différences:  je mets un maillot à présent sur la plage et ma mère, avec son petit 36, ne me porte plus sur les genoux pour mes anniversaires.
Voilà Zaza, en espérant gagner une jolie lampe!

mardi 12 octobre 2010

Quand je serai grande...

J'épouserai un prince...

 
 
auquel je rêvais déjà à 11 ans...

Virginie B tu sais à présent un de mes rêves de petite fille :)

lundi 11 octobre 2010

Mon accessoire d'enfant


Imaginons quelques instants que je redevienne enfant, quel accessoire ou vêtement rêverais-je de porter?

Première réponse: 
Un tracteur pour réaliser mon rêve de toute petite fille et rendre mon fils fou de bonheur:
"Être une fermière avec des lions"

Seconde réponse:
Enfiler mon tutu et me laisser surprendre par la grâce qui s'abattrait enfin sur moi. 
Ce qui m'aurait évité de me faire virer du cours de danse dès la première année pour incompatibilité pathologique avec l'exercice...


Voilà Chocoladdict pour ma participation à votre concours

samedi 9 octobre 2010

Happy saturday evening [Mon mois pour toi / octobre]



Je profite de ce premier feu à l'âtre pour reprendre, ici (après un passage chez Anne Laure), 
Mon mois pour toi

Profiter des premiers jours du mois pour s'offrir un cadeau:
une image, une musique, une photo, un poème..

Vous publiez chez vous avant le 15 et je récapitule, au pied de la cheminée,
le lendemain tous ces cadeaux virtuellement (mais non moins heureux) offerts?

vendredi 8 octobre 2010

Tante cerfeuille

Puisque le temps est à la propagation en tous genres (virus, tags, concours), je réponds à Maman Funky qui me demande d'avouer cinq choses justement inavouables.

La première en lien avec le titre du post:
Je suis une trouillarde de la maladie et je m'appelle Alice. Ouf.
Vous vous dites surement "comme tout le monde?", je vais donc m'obliger à vous confier jusqu'à quel point je suis la pétocheuse du symptôme.

Je me coupe: je refuse de regarder, je refuse que l'Epoux regarde. Je préfère mourir dignement dans ma cuisine d'une coupure liée à l'excès de parmesan tranché sur mes pâtes. Je préfère avoir une cicatrice jamais refermée qu'un point de suture.

Le Pouic malade? (c'est arrivé 3 fois en deux ans et encore: deux jours de fièvre sans plaintes): je regrette d'avoir enfanté, dors habillée pour le conduire aux urgences au cas où il fasse une pointe à 38°5.
J'ai même failli ne pas enfanter à cause des rendez-vous médicaux que ça impliquait. La césarienne programmée est presque tombée comme un miracle, finalement.

Si je lis (et je lis) les notices des médicaments prescrits exceptionnellement par mon médecin, je décide, que finalement c'est plus dangereux de les ingérer que de décrépir de ma maladie (aujourd'hui rhume, bronchite, angine). Du coup ça traine.

Mon médecin est conciliant. Il ne me touche plus.

Le tensiomètre est mon ennemi, il risque l'implosion si une blouse blanche me touche.
Mon remède à la phobie? un Epoux infirmier qui prend les choses en mains (prises de sang at home, tensiomètre à la clinique, soins à la cicatrice après l'accouchement etc) et une maison achetée à 5min à pieds de l'hôpital!

Evidemment, avec un tel aveu, les prochains seront bien fades...

Le second
Je suis une flippée de l'haleine. De vieux souvenirs de profs puants derrière mon épaule me rendent hyper-méga-vigilante de l'odeur que je peux dégager quand j'individualise mes corrections. Hollywood chewing-gum est mon allié le plus fidèle.

Le troisième
Quelquefois je suis jalouse. Pas une jalouse néfaste mais quelquefois j'envie celles pour qui tout semble simple: l'argent, le couple, le boulot, la maison nickel. Même si je sais que rien n'est aussi simple que ce que les blogs, les livres, magazines laissent paraitre...

Le quatrième
Je me soigne mais je suis une anxieuse à l'apparence cool. Les crises d'angoisse étaient mon lot quotidien. Aujourd'hui elles appartiennent au passé. De la sophro, du travail sur la connaissance de soi, une grosse prise de main concernant l'acceptation et on progresse. Un peu chaque jour. Le Pouic, et l'Epoux, par le simple fait d'être un Super Pouic et un Super Epoux  m'y aident beaucoup aussi.

La cinquième
Je me demande ce qui fait que ce blog qui part sans cesse dans tous les sens fait encore sur la blogo. Quelquefois je le voudrais autre. Ou divisé en deux. En trois. Ou pas du tout. J'admire les belles plumes, toutes celles qui racontent leurs lectures, leurs vies, leurs passions ou créations... et cela me motive pour tenter aussi de poster des choses dont je suis fière.

Je vous souhaite à tous et toutes un heureux week-end.

Et je passe à mon tour le relais à celles qui le voudront !

Mes quatre derniers


Présentation de l'éditeur
Haarlem, années 1630. Cornelis Van Deruick, un marchand de tissus veuf et sans le sou, décide de quitter la Hollande pour chercher fortune en Amérique. Il laisse ses quatre enfants à la garde de l'aîné, Wilhem, et leur assure la protection de Paulus van Bereysten, haut personnage de la ville, négociant en fleurs puissant et redouté. La Hollande est alors la proie d'une étrange folie : la passion des tulipes. Les variétés rares atteignent des prix extravagants et font l'objet de spéculations intenses, au point d'inquiéter les autorités. Des fortunes se font et se défont en quelques heures sur ce marché volatile où un seul bulbe de Semper Augustus - une tulipe légendaire à l'éclat sans pareil - vaut autant qu'un palais. Livrés à eux-mêmes, les enfants Deruick vont affronter un monde cynique et implacable... Basé sur un épisode historique méconnu, la " tulipomanie", où certains économistes voient une préfiguration des bulles spéculatives modernes, le roman d'Olivier Bleys restitue avec brio l'atmosphère fiévreuse des Pays-Bas de l'âge d'or. Ce récit d'une formidable vitalité est aussi un plaidoyer contre l'injustice sociale, l'asservissement des faibles par les nantis. Il se révèle alors d'une troublante actualité.
Ma lecture Elu "Coup de coeur" de mes bibliothécaires, ce livre fut une heureuse surprise et offre un total dépaysement temporel. J'ai plongé avec ravissement dans la Hollande du XVII°siècle.
Les personnages sont authentiques, attachants autant que détestables.
J'ai beaucoup aimé le style d'Olivier Bleys, auteur que je découvre.

Présentation de l'éditeur
Lorsqu'en 1847 George Sand, qui a déjà fait paraître ses plus grands romans, entreprend à quarante-trois ans son Histoire de ma vie, elle définit ainsi son futur livre°: "°C'est une série de souvenirs, de professions de foi et de méditations dans un cadre dont les détails auront quelque poésie et beaucoup de simplicité. Ce ne sera pourtant pas toute ma vie que je révélerai.°" Son modèle n'est pas Rousseau, ni d'ailleurs les Mémoires d'outre-tombe qui vont commencer à être publiés et où elle voit trop de pose et de drapé. Son ambition n'est pas d'inscrire sa vie dans le mouvement de l'Histoire, mais d'offrir le récit d'une existence de femme et d'écrivain qui côtoie rapidement Balzac et Sainte-Beuve, l'abbé de Lamennais et le socialiste Pierre Leroux - et bien sûr Musset et Chopin. Le lecteur trouvera ici le tiers, environ, de cette œuvre immense dont les vingt volumes commencent à paraître en 1854 et qui occupe une place essentielle dans l'histoire de l'autobiographie. Car si d'autres femmes, avant Sand, ont écrit des mémoires, la singularité de son Histoire de ma vie est qu'on y découvre pour la première fois le récit de formation d'une jeune fille qui a voulu être artiste - mais un récit sans égotisme parce que au miroir de sa propre existence elle désire que se retrouvent tous les autres enfants du siècle : "° Écoutez°; ma vie, c'est la vôtre.°
Ma lecture.  Cette autobiographie m'a semblé fort intéressante dans la mesure où elle explique et recadre aussi certains romans dans une période de la vie de l'auteure. Sand ne s'attarde pas sur les détails de sa vie intime (amoureuse) qui pourraient pourtant expliquer aussi son oeuvre.
Toutefois, de son passage au couvent jusqu'à la relation très passionnelle avec sa mère, ce texte donne accès à une autre facette de l'écrivain. Quoique je lise à présent, je l'envisage d'une manière plus sensible parce que je me sens plus proche d'elle.
Sand m'intrigue (et me plait) plus encore et cette autobiographie m'a donné envie de relire certains romans d'elle.

Présentation de l'éditeur
Elles se rencontrent au coeur des années soixante-dix, camarades de chambre dans un collège prestigieux où elles entament leur cursus universitaire. Genna Meade, descendante du fondateur du collège, est la fille d'un couple très " radical chic ", riche, vaguement hippie, opposant à la guerre du Vietnam et résolument à la marge. Minette Swift, fille de pasteur, est une boursière afro-américaine venue d'une école communale de Washington. Nourrie de platitudes libérales, refusant l'idée même du privilège et rongée de culpabilité, Genna essaye sans relâche de se faire pardonner son éducation élitiste et se donne pour devoir de protéger Minette du harassement sournois des autres étudiantes. En sa compagne elle voit moins la personne que la figure symbolique d'une fille noire issue d'un milieu modeste et affrontant l'oppression. Et ce, malgré l'attitude singulièrement déplaisante d'une Minette impérieuse, sarcastique et animée d'un certain fanatisme religieux. La seule religion de Genna, c'est la piété bien intentionnée et, au bout du compte inefficace, des radicaux de l'époque. Ce qui la rend aveugle à la réalité jusqu'à la tragédie finale. Une tragédie que quinze ans - et des vies détruites - plus tard, elle tente de s'expliquer, offrant ainsi une peinture intime et douloureuse des tensions raciales de l'Amérique.
Ma lecture.  Déception. Grosse déception. L'ambitieuse quatrième de couverture n'a pas tenu ses promesses, à mon goût. Je n'ai pas compris les personnages, en particulier Genna, qui m'a semblé être une caricature d'elle-même. Qu'elle soit noire ou blanche, peu importe, quiconque la rencontrerait, dans un univers aussi hostile que peut l'être celui d'un internat pour jeunes femmes favorisées, la prendrait en grippe. Quiconque sauf à Minette, animée par un manque de confiance en elle et un Oedipe non résolu, elle s'entiche de cette voisine de chambre déplaisante et indifférente, à la manière d'une victime et de son bourreau.
Non, je suis passée "à côté" du roman de Oates, ne trouvant pas les personnages très crédibles, peu ancrés dans cette Amérique des années 70, mais plutôt emprisonnés dans leur microcosme que je ne parvenais pas non plus à me représenter...


Présentation de l'éditeur
Pearlie pense vivre un bonheur paisible. En 1949, à San Francisco, elle a retrouvé et épousé Holland Cook, son amour d'adolescence. Holland a survécu à la guerre et refuse d'en parler. Une chose est certaine: il n'est plus le même... Le passé ressurgit le jour où un homme d'affaires, Charles Drumer, s'immisce dans la vie du couple et propose à Pearlie un étrange marché.
Ma lecture.  Agréable.
Pas un roman dont je me souviendrai longtemps mais un moment plaisant sur les secrets, sur le fait qu'on ne connait jamais l'autre.
Un livre également sur la valeur du dialogue.
Ce livre évoque aussi l'Amérique animée par les tensions raciales, le vécu douloureux du retour du Vietnam, les séquelles laissées par la guerre.
J'ai beaucoup aimé la manière dont se noue l'intrigue, le personnage de Pearlie étant particulièrement bien construit.
Ce roman est prêt à voyager, si vous le désirez...



Deux de ces lectures étaient pour George


Clic chez George
Clic chez George


mercredi 6 octobre 2010

L'indispensable de ma rentrée


Un cartable marron dont le cuir se patine et s'assouplit tout doucement.

Étrenné en fin d'année scolaire dernière, il m'a valu de multiples justifications les joues rougies de gêne quant à l'odeur persistante de biquette que je laissais trainer derrière moi...

Aujourd'hui, face à mes nouveaux stagiaires, aucune explication à devoir: l'odeur extérieure s'est estompée mais il est préférable que je ne retienne pas en otage mes copies trop longtemps!

En plus, ce cartable il a une histoire car il vient tout droit du Sud de la France, de chez Zaza! qui nous avait présenté son jumeau dans son "Un jour, un look"

Voilà Val, la Miss aux doigts de fée!
Je les mérite hein mes moustaches?

lundi 4 octobre 2010

Un jour / un look fin de saison


C'était il y a quinze jours.
Dernière glace en bord de mer à la sortie de la crèche.
Le Pouic est sappé anglais de la socks/HetM/Monop'/Levi's pour la shoes qui tue.

Pour toi ma Zaza rebondie,
Et une p'tite cuillerée pour ton tout-mini qui doit prendre un peu de gras.

dimanche 3 octobre 2010

Et sinon?



L'automne est bien installé. Il pleut sans cesse et il vente très fort. 
On ne peut même pas allumer notre cheminée car les ramoneurs semblent débordés.
Mes premières copies sont arrivées, presque envie de photographier les perles.
Je respire d'une narine et ça ne garantit pas la qualité du sommeil.
Le Pouic garde la banane (facile, facile...)
Et je tente de relever la tête, à la girafe quoi
(je suis d'un drôôôle...)

samedi 2 octobre 2010

Une histoire de loup et de renard [Part. I]

Chère Sophie Hérisson, oui, nous participons toujours à ton Challenge et même si nous avons placé la barre très haute, je vais poursuivre ce défi en partageant les merveilles que nous feuilletons le soir avec un gros câlin en prime que je partagerais pas!.

En ce moment ce qui fait vibrer le blondinet, c'est le LOUP (et/ou le renard). Évidemment la sale bête ne l'effraie pas car je choisis involontairement des albums ou il apparait plutôt sous son meilleur jour, la bestiole.

Emprunté à la médiathèque sans regarder vraiment le contenu, Le voleur de poules, de Béatrice Rodriguez

(Édition Autrement jeunesse).


Surprise quand il a fallu lire, car il s'agit d'une histoire sans parole: et là je me suis vraiment éclatée à me laisser surprendre en même temps que le Pouic:
lire et interpréter sans être totalement à côté de la plaque. Donc décrire au maximum. A deux.

Une chouette découverte que cette nouvelle forme de lecture.
L'histoire est très drôle, les dessins bien travaillés.
Un aperçu?



Vous l'aurez compris, c'est l'histoire d'un renard qui vole une poule.

Les potes de la poule (le coq, l'ours et le lapin) volent à son secours.
Ils courent, campent, grimpent aux arbres, nagent, font naufrage pour la retrouver...



Un livre à découvrir...