dimanche 27 février 2011

Vivement Dimanche Prochain # 4

Un joli dimanche en famille

pour fêter l'anniversaire de Ma Maman :
le bonheur des bougies soufflées,
des cadeaux ouverts,
d'un repas préparé avec soin,
de la tendresse offerte,
des pensées et des gestes pour les personnes qui nous sont chères...

Et la découverte toujours :
Se laisser surprendre par un rayon de soleil et tenter de le capturer avant de le laisser filer...




Heureuse semaine à vous !
Et Vivement dimanche prochain Zaza car demain rime avec reprise pour des vacances à peine savourées...

samedi 26 février 2011

Les chemins qui mènent chez moi

Voici la liste des dernières requêtes qui mènent chez moi
(à ma grande surprise)


les prune des fille la ou les zizi rentre
Première leçon que j'en tire: quand mon fils sera en âge de poser des questions, trouver des mots aux signifiés moins comestibles pour désigner "la chose" et d'ailleurs éviter toute métaphore.

cest quoi mamiver
Une mamie ver de terre? Oh Maman je suis désolée. Le jour de ton anniversaire en plus...

blog alice pouic poui 
Nous avons des noms de scène à Pouic city!


hilgueugueu
La faute à un bonnet. Mais faut pas croire que les musclés vont débouler sur mon blog. Surtout pas!


voir un zizi rentrr dans la zizette d'une femme
Je crois que cette nouvelle requête va m'obliger à poster un petit cours d'éducation sexuelle niveau débutant! Pauvres gosses, je préfère autant qu'ils arrivent chez moi que chez "grosse chienne en chaleur.com", ça les traumatisera surement moins.

je t'embobine
Ha bon?


cuissette
Je vois davantage de bons cuissots de compétition... à moins qu'il ne s'agisse du Pouic?


alice ma boubou d'amour
Alors là j'adore et je cherche curieusement qui est mon admirateur secret! On peut faire la manip' inverse pour tomber chez lui??



Cela me fascine de découvrir les méandres des moteurs de recherche!

vendredi 25 février 2011

La liberté politique : à quel prix?


Lu au coeur des événements en Algérie, en Tunisie, au coeur des révoltes qui grondent par le monde, Le siècle identitaire éclaire les questions identitaires, les luttes de ces peuples trop longtemps opprimés.

F. Mehenni dénonce l'impuissance de l'ONU et l'impuissance mondiale généralisée à faire cesser les combats meurtriers des peuples qui ont toute légitimité à réclamer leur liberté longtemps volée. Le monde géopolitique, hérité de la décolonisation, brûle à petit feu.
Les frontières dessinées bien souvent en dépit d'un bon sens quelconque génèrent de nombreux conflits : les 50 ans d'autonomie n'ont pas permis à la souffrance de disparaitre et les populations en quête de liberté et de richesses cherchent à fuir vers leurs anciens colonisateurs.

Pour F. Mehenni, les conflits qui agitent ces pays sont des maladies incurables car ils ne se sont pas développés naturellement: on leur a imposé une identité par le biais de la colonisation.

Finalement, le combat que devraient mener les grandes puissances serait celui d'offrir la liberté aux peuples opprimés, valoriser leur identité: alors qu'on s'inquiète mondialement et d'une manière consensuelle de la disparition d'espèces végétales ou même animales, personne ne s'inquiète de ces cultures que l'on tente d'étouffer.

L'épilogue replace le problème identitaire à la Kabylie puisque Ferhat Mehenni est fondateur du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie, il en a été élu le président jusqu'au 31 mai 2010, avant d'assumer les fonctions de président du Gouvernement provisoire kabyle.

Je ne suis pas une experte sur ces questions géopolitiques et historiques. En revanche, comme toute citoyenne éclairée (que je tente d'être) je m'interroge, me renseigne et me ravit de cette émergence de la liberté.
Cet essai m'a apporté un éclairage nouveau sur les effets (et non les effets positifs comme une loi le proposait) de la colonisation et décolonisation.

lundi 21 février 2011

Inventaire de mes petits bonheurs

Recevoir de belles surprises (Merci 1000 fois Val) / 
Partir quelques jours en balade



Regarder le ciel et le voir à mes pieds /
S'inventer des histoires d'un autre siècle, d'une autre vie



Me voir parfois moins fatiguée ou moins ridée et plus apprêtée /
Savourer un bel et bon apéritif au champagne


Écrire de doux mots, en lire toujours et encore/
Un bouquet de fleurs qui décore ma maison



           Et finalement, chaque jour il y a mille raisons, mille façons de savourer le bonheur.

Je crois sincèrement que le bonheur n'est pas quelque chose d'inaccessible, mais c'est une façon de vivre, y compris dans les moments moins drôles.

Être heureux, ce n'est qu'une question de volonté.

Voilà ma contribution Zaza et Chrys

dimanche 20 février 2011

Vivement Dimanche Prochain # 3


Savourer le sentiment d'être en vacances (dans la réalité, la semaine s'annonce chargée),

Sentir enfin le virage qui me donne l'envie et l'énergie d'aménager la maison,

Cuisiner une ribambelle de friands pour l'Époux courageux,

Pendant ce temps, entendre Le Pouic jouer des heures avec ses canassons,

S'armer de courage pour aller prendre un grand bol d'air pluvieux, glacé et venteux sur la plage, le Pouic et moi afin de nous ouvrir l'appétit,

Se dire que c'est dimanche même si nous sommes deux et craquer chez un bon pâtissier pour deux macarons (fraise et framboise) et une tarte au chocolat fondant divine (au passage, penser à Choco),

Aller tous les trois retrouver le carrousel découvert le matin, laisser passer cinq tours en l'écoutant pleurnicher de peur, offrir le ticket à un petit garçon, et le voir surmonter enfin sa peur pour monter sur Tonnerre avec Papa.

Voilà Zaza, mon beau dimanche!
Et chez vous, c'était comment?

Jeu des 7 (x100) différences


Samedi 1Oh                                                               Samedi 18h

Ça se passe presque d'explications...

samedi 19 février 2011

Mes amis d'ici et d'ailleurs

Dans la vraie vie, je n'ai pas beaucoup d'amies. Cinq peut-être. J'ai des très bonnes copines, des copines et des connaissances bien sur.

Grâce à la blogo, j'ai aussi des amies que je n'ai jamais rencontrées (mais ça arrivera bien un jour). Cinq peut-être. Avec lesquelles j'échange des mails, à qui je confie des choses, j'exprime des sentiments dont je ne fais pas part sur mon blog.

Sur facebook, j'ai 412 amis. Tu vois où je veux en venir? 412 c'est déjà énorme (de trop) pour moi. Car ce sont 412 personnes qui ont accès à ma vie de cousine, de prof, de collègue, de blog, de belle-sœur.

Peu de mes ami(e)s sur facebook sont mes connaissances de blog. 
Presque aucune de mes amies dans la vraie vie n'est mon amie sur facebook. 
Mes amis sur facebook sont essentiellement des anciens stagiaires.

En revanche je ne suis cliente d'aucun de mes amis: je suis très gênée par la perméabilité des amitiés virtuelles. Je ne veux pas que mon assureur, mon banquier ou mon marchand de vins sache que je suis triste / heureuse / en train de cuisiner des crêpes ou deux jours terrassée par une grippe.A l'inverse, je ne veux pas que tous mes anciens stagiaires, mes collègues sachent que j'ai un blog.

Alors, je remarque que certaines blogueuses créent un compte avec leur "nom de scène".
Je n'en ai pas. Et n'est-ce pas "too much" : Hellocoton, le blog etc.
Où et comment laisser la place pour la vraie vie? Ne deviendrait-on pas schizophrène à être partout et nulle part (entendez dans un troquet à boire le coup avec des copines -même si je sais que bon nombre d'entre vous se rencontrent au resto, bande de veinardes) à la fois? Qu'en faites-vous des vrais amis quand vous êtes Miss Coconut Dream sur Facebook?

Je ne sais pas comment vous gérez ça les filles mais ça m'intrigue drôlement...

Je voudrais bien y voir plus clair...



vendredi 18 février 2011

Message sans fin


" Si tu est moche, blond et que tu t'apelle (effacé) passe pas par là on veut pas..."

To be continued.

Alors, d'après vous, quelle est la suite?

lundi 14 février 2011

Un lundi d'amour




"Aimer, c'est trouver sa richesse hors de soi" Alain

Je vous souhaite à tous qui passez par ici, beaucoup d'amour (et plus encore aujourd'hui).
(et à vous aussi les filles, Chrys et Zaza)

dimanche 13 février 2011

Vivement Dimanche Prochain # 2

Une pré-St Valentin tous les trois à la ferme dans un très joli gîte près d'Honfleur.


Partager notre chambre avec Le Pouic, ce qui l'a rendu hilare... jusque tard.

Finalement s'endormir le lendemain soir en même temps que lui.

A peine arrivés réaliser que notre chambre était au-dessus de l'abri à chevaux et se faire réveiller en sursaut par le braiment de l'âne. Au delà du cri, entendre Le Pouic en boucle l'appeler, lui souhaiter une bonne nuit...

Faire sa première balade à dos de poney à Deauville, seul sous l'averse et savourer la solennité de l'instant.

Trouver le Pouic très sortable dans sa capacité d'adaptation (siestes écourtées, loupées, couchers tardifs, restos à gogo), c'est un petit mec vraiment cool.

Après 48 heures non-stop tous les trois, chercher le coupable entre les deux parents: Qui dit tout le temps "Merde"? Qui a un tic de langage qui consiste à répéter "en fait" toutes les cinq minutes?
Parce que le Pouic a chopé nos tics et la chanson qui tourne en boucle dans la bouche de Papa (merci les choix hétéroclites des Inrocks)

 Merci Frérot pour ce Noël 2009 (il était temps qu'on déballe le cadeau), bonne semaine à vous toutes et merci Zaza pour ce rendez-vous commun!


vendredi 11 février 2011

Clic-Clac # 7

 
Pas tout à fait autonome, mais en progrès...

Pour CriCri et une grande pensée pour elle.

mardi 8 février 2011

Moi d'abord !

"c'est pour toi/elle/lui que je l'ai fait"

Si vous saviez comme j'ai pu l'entendre cette phrase...
Et comme je l'entends encore aujourd'hui.

Se servir de ses enfants pour justifier tel ou tel sacrifice me semble, 
aujourd'hui que je suis Mamam,  
inconcevable,
voire intolérable. 

Une autre du même genre : 
"je reste pour mes enfants" 
 


On peut faire des choix pour préserver sa famille, son équilibre, son temps mais on ne les fait pas POUR l'autre, on les fait d'abord pour soi-même!

Le bonheur de mon enfant passe d'abord par le mien. D'ailleurs je ne crois pas en l'altruisme: même si on croit faire plaisir, c'est que ça nous fait d'abord plaisir.
Ca vous semble incohérent?

Je ne veux pas attendre de la reconnaissance dans le regard de mes enfants, dans les mots qu'ils prononcent.
Qu'ils disent merci oui mais ne pas attendre d'eux qu'ils soient heureux des choix que JE fais pour eux au détriment de mes propres envies.

Bien sur mon bonheur dépend du leur. Mais ce n'est pas parce que je vais me priver de qqchose ou les voir en état d'extase que ça suffira à me rendre moi heureuse.
Alors je me demande à quel point je suis égoïste.

Je vous rassure, tout va bien dans mon couple mais à mesure que le Pouic grandit, je me découvre aussi affirmative dans mes choix éducatifs et là, c'est une vraie révolte que je ressens souvent à l'égard de tous ces parents qui attendent beaucoup de leur enfant et de leur reconnaissance.

dimanche 6 février 2011

Vivement Dimanche Prochain # 1


Encore un essai foiré de cookies.
Je n'y arrive pas! Mon four est imprécis dans la température de cuisson et même si j'ai l'impression qu'ils sont à peine cuits, ils deviennent trop vite durs à s'en casser les dents!
Chocoladdict,, j'ai tout suivi mais ça n'a pas eu l'effet espéré!

HELP! Mesdames les cordons bleus de passage!

Alors, tant pis, vivement dimanche prochain*! 
* C'est un nouveau rendez-vous auquel Zaza nous invite tous les dimanches.

samedi 5 février 2011

Whaou !


Trouver (sans y croire) mon nom sur la liste des admissibles et crier.

Se renseigner et partir le mois prochain à Rennes pour l'oral.

Réfléchir à son parcours professionnel, le mettre en valeur. Se sentir soutenue, encouragée, préparée par ses responsables.

Apprendre donc des tas de notions pour anticiper les questions de connaissance.

Mettre à profit TOUS les conseils dispensés depuis 10 ans aux candidats que je prépare aux concours aussi.

Découvrir ce matin que je me suis aussi inscrite à une épreuve de langue. En rire tant je risque d'être ridicule. Mais ne pas oublier que le ridicule ne tue pas et qu'en général je ne rate pas une occasion de rire de moi.

Se rendre compte qu'on a aussi besoin de preuves pour avoir confiance en soi.

Bon sang, les filles, y'a une part de moi qui se sent revivre!